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Comment éviter le phishing?
Assurez-vous que votre système d’exploitation soit également à jour. Utilisez un logiciel anti-virus reconnu et mettez-le à jour régulièrement. Utilisez un logiciel anti-espion. Utilisez un filtre anti-spam.
Comment savoir si on a été victime d’un phishing?
Vérifiez l’adresse du site qui s’affiche dans votre navigateur. Si cela ne correspond pas exactement au site concerné, c’est très certainement un site frauduleux. Parfois, un seul caractère peut changer dans l’adresse du site pour vous tromper.
Quel est le principe du phishing?
L’hameçonnage ou phishing est une forme d’escroquerie sur internet. Le fraudeur se fait passer pour un organisme que vous connaissez (banque, service des impôts, CAF, etc.), en utilisant le logo et le nom de cet organisme.
Qu’est-ce qu’une attaque phishing?
Ce type d’attaque vise à obtenir du destinataire d’un courriel d’apparence légitime qu’il transmette ses coordonnées bancaires ou ses identifiants de connexion à des services financiers, afin de lui dérober de l’argent.
Quels indices peuvent faire penser qu’il s’agit d’une tentative de phishing?
Les indices pour reconnaître une tentative de phishing – le fraudeur insiste sur le caractère urgent du mail (compte bloqué, facture en impayée, ami en détresse,…) ou sur un gain potentiel (remboursement, loterie,…)
Comment savoir si on a un mail d’hameçonnage?
Voici quelques moyens de vérifier si un lien est légitime : Dans le courriel, survolez le lien avec votre souris pour afficher son URL. Les URL d’hameçonnage contiennent souvent des fautes d’orthographe. Il s’agit d’un signe clair d’escroquerie.
Quels sont les dangers du phishing?
Quelle sont les risques? Une campagne de phishing vise à récupérer des informations personnelles afin de les utiliser de manière malveillante. Ces informations peuvent être détournées pour : Usurper votre identité
Ou transférer les messages douteux?
Vous pouvez transférer le SMS abusif au numéro 33700. Il s’agit d’un dispositif d’alerte par SMS créé par les opérateurs télécoms, les éditeurs de services et les hébergeurs, en concertation avec le Secrétariat d’Etat chargé de l’Industrie et de la Consommation.